Alors que l’on entend souvent parler de l’indépendance sacrée des banques centrales, Gerald Celente a noté, dans sa dernière interview sur KWN, de curieuses coïncidences entre des décisions importantes prises par les banques centrales et le sommet de Davos, club des élites où se rencontrent politiciens et hommes d’affaires de premier plan :

« (…) Les dés du jeu sont pipés. Rappelez-vous du sommet de Davos de la mi-janvier dernier. Sur KWN, Art Cashin et Ray Dalio, via une citation, affirmaient que nous avions besoin d’un nouveau QE de la part de la Fed. Que se passe-t-il le jour suivant, et qui se trouve à Davos où se réunissent les premiers ministres, les chanceliers, les présidents, etc. ? Draghi annonce le lendemain que la BCE reverra à la hausse son programme de stimulation monétaire durant sa réunion de mars.

Qui d’autre avions-nous à Davos ? Le patron de la banque centrale du Japon. Juste avant d’embarquer pour la Suisse, Kuroda déclare à son parlement que les taux d’intérêt négatifs ne sont pas à l’ordre du jour. Mais alors qu’il quitte Davos, il fait exactement le contraire en instaurant des taux négatifs.

Bien sûr ils pourraient donner un coup de fouet aux marchés, convaincre de nouveaux acteurs de passer à l’achat et se débarrasser de positions short publiques. Mais par la suite, le marché se remettra à baisser. C’est à ce moment-là que le souhait de Ray Dalio de Bridgewater se manifestera. (…) »

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