Aujourd’hui, pour vous faire une bonne frayeur, oubliez la lecture d’un Stephen King ou le visionnage d’un film d’Alfred Hitchcock : lisez l’actualité ! Dans cet article de Martin Armstrong, on apprend que le gouvernement australien dispose d’un véritable Big Brother officiel pour traquer ses citoyens qui s’adonnent d’une manière ou d’une autre à l’économie au noir. Et parmi ses projets orwelliens, il y a celui d’insérer des nanopuces dans les billets de banque. Pourquoi bannir l’argent liquide alors qu’on peut le tracer à l’envi ?

« Croyez-le ou non, l’Australie dispose d’un groupe de travail qui pourchasse ses citoyens par toutes les méthodes disponibles. Ils vérifient notamment où les enfants vont à l’école pour interroger celle-ci sur l’identité de ceux qui payent les frais de scolarité et comment. Ils utilisent la technologie pour pirater les téléphones des gens qui sont suspectés de cacher de l’argent afin de lire leurs messages et leurs e-mails et de prendre connaissance de leurs conversations téléphoniques, même vers l’étranger. Le propre site Web de cette entité, la Black Economy Taskforce, l’écrit noir sur blanc (Taskforce) :

« La Black Economy Taskforce a été établie pour développer une réponse gouvernementale globale innovante et d’avant-garde pour combattre l’économie au noir en Australie en partant du principe que ces problèmes ne peuvent être abordés uniquement avec les mesures traditionnelles prévues pour faire respecter les règles fiscales.

L’économie au noir concerne les personnes qui opèrent entièrement en dehors du système fiscal et légal ou qui ne déclarent pas correctement leurs revenus soumis à l’impôt. »

Michael Andrew, le responsable de ce groupe de travail à la sauce 1984 qui espionne les citoyens, a proposé au gouvernement de mettre en place la traçabilité des billets de 100 et de 50 $ australiens via l’insertion de nanopuces. Il suffirait ensuite de scanner votre habitation pour savoir si des billets de banques y sont cachés. (…) »